Acte que M. l'évêque de Senez a fait signifier, le 11 du mois d'août de la présente année 1727. à M. l'archevêque d'Embrun, & en sa personne, à tous les évêques de la métropole, à l'occasion du Concile indiqué dans la dite ville pour le seize du présent mois d'août.
Soanen, Jean, vescovo, 1647-1740
Acte que M. l'évêque de Senez a fait signifier, le 11 du mois d'août de la présente année 1727. à M. l'archevêque d'Embrun, & en sa personne, à tous les évêques de la métropole, à l'occasion du Concile indiqué dans la dite ville pour le seize du présent mois d'août. - [S.l.] : [s.n.], [1727?]. - 4, 19, [1] p. ; 4°.
Tit. dell'intit. Seguono: II. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a lu au Concile, le 18 août 1727, par lequel il récuse pour ses juges tous et chacun en particulier de messeigneurs les archevêques et évêques de la province et du Concile d'Ambrun. III. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier au Concile d'Ambrun, le 26 août 1727, par lequel, en réitérant ses actes d'incompétence et de récusations personnelles, il appelle, comme d'abus, des jugements rendus sur lesdits actes contre toutes les règles de la justice. IV. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier à M. l'archevêque d'Ambrun, le 9 septembre, par lequel il se plaint de la conduite schismatique des évêques du Concile, qui n'ont pas voulu qu'il assistât avec eux à la cérémonie du Te Deum chanté dans l'église métropolitaine d'Ambrun, le 7 septembre, en action de grâce de l'heureuse délivrance de la reine. V. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier à M. l'archevêque d'Ambrun, le 10 septembre, par lequel il confirme l'Acte précédent du 9 septembre et donne de nouvelles preuves de l'esprit et de la conduite schismatique des évêques du Concile. VI. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier au Concile, le 11 septembre, par lequel, en réitérant et confirmant ses actes d'incompétence, récusations personnelles, appels, protestations et réserves ci-devant faites, il se plaint de toutes les injustices, violences, artifices, violements de toutes les lois faits au Concile d'Ambrun, récuse les évêques des provinces voisines comme venus au Concile sans vocation légitime, et, en particulier, messeigneurs les évêques de Marseille, de Gap, de Viviers, d'Apt, d'Autun, de Belley, et de Grenoble.
Acte que M. l'évêque de Senez a fait signifier, le 11 du mois d'août de la présente année 1727. à M. l'archevêque d'Embrun, & en sa personne, à tous les évêques de la métropole, à l'occasion du Concile indiqué dans la dite ville pour le seize du présent mois d'août. - [S.l.] : [s.n.], [1727?]. - 4, 19, [1] p. ; 4°.
Tit. dell'intit. Seguono: II. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a lu au Concile, le 18 août 1727, par lequel il récuse pour ses juges tous et chacun en particulier de messeigneurs les archevêques et évêques de la province et du Concile d'Ambrun. III. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier au Concile d'Ambrun, le 26 août 1727, par lequel, en réitérant ses actes d'incompétence et de récusations personnelles, il appelle, comme d'abus, des jugements rendus sur lesdits actes contre toutes les règles de la justice. IV. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier à M. l'archevêque d'Ambrun, le 9 septembre, par lequel il se plaint de la conduite schismatique des évêques du Concile, qui n'ont pas voulu qu'il assistât avec eux à la cérémonie du Te Deum chanté dans l'église métropolitaine d'Ambrun, le 7 septembre, en action de grâce de l'heureuse délivrance de la reine. V. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier à M. l'archevêque d'Ambrun, le 10 septembre, par lequel il confirme l'Acte précédent du 9 septembre et donne de nouvelles preuves de l'esprit et de la conduite schismatique des évêques du Concile. VI. Acte que monseigneur l'évêque de Senez a fait signifier au Concile, le 11 septembre, par lequel, en réitérant et confirmant ses actes d'incompétence, récusations personnelles, appels, protestations et réserves ci-devant faites, il se plaint de toutes les injustices, violences, artifices, violements de toutes les lois faits au Concile d'Ambrun, récuse les évêques des provinces voisines comme venus au Concile sans vocation légitime, et, en particulier, messeigneurs les évêques de Marseille, de Gap, de Viviers, d'Apt, d'Autun, de Belley, et de Grenoble.